La vision peut être définie comme un état future désirable. Elle peut être modifiée et adaptée à une situation conjoncturelle ou interne, par exemple la venue d’un nouveau président. Dans un contexte de développement durable, la vision d’une entreprise doit faire ressortir son engagement en tant qu’entreprise citoyenne. Cette responsabilité profonde et significative est alors retranscrite à travers sa mission, son métier et ses buts principaux.
La mission par contre, peut être définie comme sa « raison d’être ». Ses éléments sont des points de repère auxquels les employés s’identifient ; donc, elle ne doit pas changer constamment. En plus, les impacts de ses externalités négatives obligent l’entreprise à dépasser la seule performance économique pour les actionnaires. Elle doit désormais répondre aux attentes des autres PP, donc adapter en conséquent sa vocation. En effet ceux-ci ont une autre vision de la performance de l’entreprise (environnementale et sociétal) « Triple Bottom Line » (Vision antalogique, Kant). Ainsi d’après LOVINS, Amory, B., LOVINS, Hunter L. HAWKEN, Paul (2001),[1] les missions de l’entreprise doivent être orientées vers une offre de service plutôt qu’une offre de produit. En d’autres mots, une entreprise doit se donner certaines responsabilités sur son produit durant tout son cycle de vie. Par exemple, une entreprise aura pour mission d’« offrir de la lumière au lieu des ampoules électriques ». D’où au lieu de s’enfermer dans un seul type de produit, elle peut proposer un large choix de produit (bougie, ampoules, lampes…)
Les valeurs d’une entreprise sont les points de repère qui aident les collaborateurs à déterminer son mode de travail. C’est pourquoi elles doivent être bien définies et cohérentes à la mission. Ces valeurs doivent être formalisées et diffusées régulièrement afin que chaque salarié les comprennent et les adoptent.
La mission par contre, peut être définie comme sa « raison d’être ». Ses éléments sont des points de repère auxquels les employés s’identifient ; donc, elle ne doit pas changer constamment. En plus, les impacts de ses externalités négatives obligent l’entreprise à dépasser la seule performance économique pour les actionnaires. Elle doit désormais répondre aux attentes des autres PP, donc adapter en conséquent sa vocation. En effet ceux-ci ont une autre vision de la performance de l’entreprise (environnementale et sociétal) « Triple Bottom Line » (Vision antalogique, Kant). Ainsi d’après LOVINS, Amory, B., LOVINS, Hunter L. HAWKEN, Paul (2001),[1] les missions de l’entreprise doivent être orientées vers une offre de service plutôt qu’une offre de produit. En d’autres mots, une entreprise doit se donner certaines responsabilités sur son produit durant tout son cycle de vie. Par exemple, une entreprise aura pour mission d’« offrir de la lumière au lieu des ampoules électriques ». D’où au lieu de s’enfermer dans un seul type de produit, elle peut proposer un large choix de produit (bougie, ampoules, lampes…)
Les valeurs d’une entreprise sont les points de repère qui aident les collaborateurs à déterminer son mode de travail. C’est pourquoi elles doivent être bien définies et cohérentes à la mission. Ces valeurs doivent être formalisées et diffusées régulièrement afin que chaque salarié les comprennent et les adoptent.
[1] LOVINS, Amory, B., LOVINS, Hunter L. HAWKEN, Paul (2001), A road for natural capitalism, dans STARKEY, R. et WELFORD, R., (2001) Business & sustainable development, Earthscan.
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