Pour englober sa nouvelle stratégie développement durable, l’organisation doit aussi changer sa structure et son organisation.
a) Organisation en réseau et structure plus fluide :
Rompant avec l’organisation par fonction, les organisations doivent plutôt favoriser les regroupements par projet et par compétences complémentaires. De même au lieu de tout centraliser par des procédures hiérarchiques longues et lourdes, nous préférons des structures autonomes et décentralisées.[1] Il faut alors harmoniser et renouveler les systèmes d’information et de communication. En outre il faut réadapter les systèmes et fonctions de support. Ceci permettra de se mettre en adéquation avec les nouvelles structures et de favoriser l’efficience du travail.
b) Intégrer les parties prenantes dans ses actions :
Que se soient ses collaborateurs, fournisseurs, clients et différents membres de la société civile, l’entreprise doit être en mesure de dépasser les seuls liens contractuels et réglementaires qui la lie avec ses parties prenantes (PP). Elle doit maintenant être capable d’échanger et même d’anticiper -dans la mesure du possible- les requêtes de ses parties prenantes. Pour cela elle peut déjà utiliser les relais naturels qu’elle possède au sein de sa structure. Par exemple, au cours de son travail, un responsable Achats/ Ventes s’entretient fréquemment avec ses clients et fournisseurs. Il sait alors quelles sont les grandes tendances du marché et s’il est à l’écoute, il peut déterminer celles sous jacentes et/ou émergeantes. Ce relais peut alors faire remonter les informations pertinentes au service concerné et permettre à l’entreprise d’anticiper sur les besoins de ces PP.
[1] Stratégie d’Entreprise et Ecologie- Alain Charles Martinet, Emmanuelle Reynaud- Collection GESTION, Série : Politique général, Finance et Marketing p 137-140
a) Organisation en réseau et structure plus fluide :
Rompant avec l’organisation par fonction, les organisations doivent plutôt favoriser les regroupements par projet et par compétences complémentaires. De même au lieu de tout centraliser par des procédures hiérarchiques longues et lourdes, nous préférons des structures autonomes et décentralisées.[1] Il faut alors harmoniser et renouveler les systèmes d’information et de communication. En outre il faut réadapter les systèmes et fonctions de support. Ceci permettra de se mettre en adéquation avec les nouvelles structures et de favoriser l’efficience du travail.
b) Intégrer les parties prenantes dans ses actions :
Que se soient ses collaborateurs, fournisseurs, clients et différents membres de la société civile, l’entreprise doit être en mesure de dépasser les seuls liens contractuels et réglementaires qui la lie avec ses parties prenantes (PP). Elle doit maintenant être capable d’échanger et même d’anticiper -dans la mesure du possible- les requêtes de ses parties prenantes. Pour cela elle peut déjà utiliser les relais naturels qu’elle possède au sein de sa structure. Par exemple, au cours de son travail, un responsable Achats/ Ventes s’entretient fréquemment avec ses clients et fournisseurs. Il sait alors quelles sont les grandes tendances du marché et s’il est à l’écoute, il peut déterminer celles sous jacentes et/ou émergeantes. Ce relais peut alors faire remonter les informations pertinentes au service concerné et permettre à l’entreprise d’anticiper sur les besoins de ces PP.
[1] Stratégie d’Entreprise et Ecologie- Alain Charles Martinet, Emmanuelle Reynaud- Collection GESTION, Série : Politique général, Finance et Marketing p 137-140
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